Bandes dessinées

Si je créais ma propre maison d’édition, ceci serait mon logo. C’était également le nom d’un fanzine publié vers le milieu des années 80. Malheureusement sa vie fut courte puisqu’elle ne dura que le temps d’un numéro.

Voici la couverture de l’album L’Odyssée verticale. Cette bande dessinée n’a jamais été éditée. Seulement les planches ont quand même été publiées dans la revue Censuré qui a disparu à ce jour. Décidemment l’a pas d’pot le Jaune Van Ruy!
Cet album raconte les aventures… verticale de Jules Hiver et de la très charmante et très mamelues Girelle, une sauvageonne assez sexy. Jules Hiver l’a rencontrée et sauvée et depuis elle ne le quittera plus, pour le plaisir des yeux du lecteur lambda…

A propos de Hard Rose et du fanzine déjà cité au dessus, voici la maquette de la couverture du premier et seul exemplaire jamais paru. On y vois Jo Cigare et sa compagne la plus sœurs Tatzi, Petas, Gourdas et Alamas. Ici il s’agit donc d’Alamas. Ils entourent tous deux le messies du métropolitain, une figure des nuits parisiennes.

Voici la première bande dessinée qui voit apparaître Jo Cigare et Alamas. Excusez moi pour le moirage des gris, ce sont des originaux et les trames font défaut.
Textes : 1h du mat. Dernier métro. Quai désert. Y’a plus qu’les bronzés qui s’affairent. Béton crasseux, faïence austère. De métro dévoile ses mystères. (Complètement barjo la gonze). Encore un p’tit effort pépère. Ca y est ça pousse, ça prolifère, fleurs de béton, fleurs éphémères. C’est la floraison printanière, un peu d’soleil sur la misère. Merci mon pot, t’chao mon frère. (Cré vingt guieu !! S’coup ci là v’la l’printemps).

Porte Poisse est le premier volume d’une série d’albums consacrés aux aventures de Kikanha et de Ahnana dans un jeu de rôle virtuel. Encore une bande dessinée non publiées, mais qui ne demanderait qu’à l’être !

La revue de bande dessinée Censuré déjà citée, est un mensuel de bandes dessinées d’humour, tendance Fluide glacial. Elle fut éditée par les Editions Martin Freville. Née en octobre 1985, elle décède en février 1987. Editée en noir et blanc, tare rédhibitoire, il s’est à l’époque très mal vendu et en est mort. On y rencontrait des auteurs inconnus tel que moi-même, Jakes Bihan, Z. Bono, J. Lerouge, Covial et quelques autres, mais également des pointures tel que Bernet, Tabary, Cestac, Pichon et même Boucq. Pour les auteurs qui sont restés inconnus, ce fut tout de même une expérience professionnelle sympatique, et j’en garde un bon souvenir.