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En 1964, il participe à la Biennale
de Conches, petite ville de l’Eure. Puis il part en Allemagne,
dans la ville de Russelscheim pour y exposer son travail. Enfin
ses toiles sont présentées à la M.J.C de la
Prairie, à Caen dans le département du Calvados. Cette
année-là il devient Assistant décorateur sur
les stages de la Jeunesse et Sport, sous la direction d'André
Malartre. Ainsi en 1964, il participe, à Bolbec, à
la création des décors d'une mise en scène
de Deirdre des douleurs et le Baladin du monde occidental,
de Singe. En 1995, c'est à Conches qu'il réalise de
décors des Bouches inutiles de Simone de Beauvoir.
Puis en 1966, c'est à Gisors qu'il va assister André
Malartre pour les décors d'une pièce de William Shakespeare,
Le Roi Jean, et Henri IV en 1967 à Vivoin dans
la Sarthe.
De 1965 à 1967, il pratique parallèlement
le métier de Créateur Modeleur aux Poteries Normandes
à Louviers.
En 1968, il obtient un C.A.F.A.S aux Beaux-arts
de Rouen.
A la suite de cela entre 1968 et 1969,
il expose consécutivement à la Maison de la Culture
du Havre, à l’Université des Sciences de Rouen,
ainsi qu’au musée de Louviers.
Il obtient en 1969 son E.N.S.B.A, diplôme des Beaux Arts,
de gravure.
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Entre les années 1968 et 1977,
Georges Van Ruymbeke est chargé d’enseignement en Arts
plastiques pour l’Education Nationale.
A partir de 1970 il de vient Décorateur
pour les stages de la Jeunesse et Sports sous la direction d’André
Malartre et Jean-Pierre Dupuy. Cette même année il
crée donc les décors, à Vivoin, de Les
Clowns d’après Là-bas où les
abeilles bourdonnent de S. O’Casey pour une mise en scène
de Jean-Pierre Dupuy, et de Poésie pour vivre, une
réalisation d’André Malartre. A Domfront en
1972, il réalise la scénographie de Périclès
de William Shakespeare, mis en scène par André Malartre.
Enfin en 1973, à Alençon c’est pour Tristan
le Fol de J. Laurent.
Pour le Théâtre des Alephs
en 1974 à Hérouville Saint-Clair (Caen), il réalise
les décors des Fourberies de Scapin de Molière
mis en scène par André Malartre.
En 1975, pour l’Atelier du Théâtre
d’Alençon, il réalise la scénographie
de Mathusalem de Yvan Goll mis en scène par Jean-Claude
Collot. Puis en 1976, pour L’Empereur de Chine de
G. Ribemont-Dessaigne mis en scène par Jean-Claude Collot
et Macbeth de W. Shakespeare mis en scène par A.
Malartre.
A Lacoste en 1976, c’est pour une
mise en scène de Jean-Pierre Dupuy, Le Sanglier est un
porc sauvage qui vit seul d’après Ricard III
de William Shakespeare, qu’il fait les décors. Cette
même année, avec l’Association Régionale
pour la Création, il produit les décors des Bonnes
de Jean Genet, pièce mise en scène par J.-P. Dupuy.
A partir de 1977, il réalisera les décors
des créations du Théâtre d’Ostrelande
à Caen. Sir Halloween de Michel de Ghelderode mis
en scène pas A. Malartre en 1977, Graal théâtre
de M. Roubeau par le même metteur en scène en 1978,
Antigone de Sophocle toujours par A. Malartre en 1979.
De 1977 à 1983 il travail pour le théâtre d’Alençon
dans l’Orne, qui deviendra plus tard une scène nationale,
où il détient le poste de graphiste-décorateur.
Son travail consistera en cette période à concevoir
et à réaliser les décors des pièces
qui seront montées dans ce théâtre. Ce lieu
de spectacle vivant étant à l’époque
un lieu de création, accueillant de manière permanente
la compagnie du Mal d’Aurore, il sera aussi chargé
de créer les affiches des spectacles
présentés en ce lieu :
- 1977 : Escurial et Le Cavalier bizarre, de Michel
de Ghelderode mis en scène par J.-P. Dupuy et La Moschetta
de Ruzante mis en scène aussi par J.-P. Dupuy.
- 1978 : Les Fables de La Fontaine mis en scène
par A. Malartre, Marat-Sade de Peter Weiss mis en scène
par J.-P. Dupuy, Désordre dans la bibliothèque
de G. Boulan mis en scène par J.-C. Collot et Le Pain
quotidien (montage poétique) mis en scène par
J.-P. Dupuy.
- 1979 : Les émigrés de Slavomir Mrozek mis
en scène par J.-P. Dupuy, L’Opéra des Gueux
de John Gay mis en scène J.-P. Dupuy et Toi et Moi par
hasard (montage) mis en scène par J.-P. Dupuy.
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En 1980, il est comédien dans Antigone III
de Sophocle mis en scène par André Malartre, pour
le Théâtre d’Ostrelande. En 1981, c’est
en temps que scénographe qu’il participe à la
pièce Penthésilée de Von Kleist mis
en scène par A. Malartre toujours pour Ostrelande.
Dans les années 80, il continue à réaliser
les scénographies du théâtre d’Alençon
et de la Compagnie du Mal d’ Aurore :
- 1980 : La mort infidèle de G. Boulan, La Grande
imprécation devant les mûrs de la ville de T. Dorst,
L’Histoire du Cercle Craie d’après B. Brecht
et Le brave soldat Chveik d’après J. Hasek,
le tout mis en scène par J.-P. Dupuy.
- 1981 : Courts Circuits de G. Boulan mis en scène
par Daniel Parîs, Cocktail Parade (création
collective) d’après Roméo et Juliette
de W. Shakespeare mis en scène pas J.-P. Dupuy, enfin Comédiens
cherchent public pour (mou)rire d’amour et plus si affinités
(montage) mis en scène par J.-C. Collot.
- 1982 : Les troyennes d’Euripide mis en scène
par J.-C. Collot et La PrécÔtion Inutile d’après
Le Barbier de Seville de Beaumarchais mis en scène
par J.-P. Dupuy.
De 1983 à 1986 il est chargé
de cours à l’A.D.A.A, l’Académie d’art
d’Alençon.
En 1985, il participe à l’exposition Tirs croisés,
rétrospective des artistes invités, à la Maison
des arts d’Evreux dans l’Eure.
Il expose en 1986 à la Ferté
Macé dans le département de l’Orne, sous le
thème « Le dessin et ses techniques ».
En 1987, il participe à une exposition de
groupe au théâtre Saint-Ange à Marseille.
Enfin en 1989, il expose successivement à la galerie Médiane
de Rouen et à la Maison des arts d’Evreux.
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De 1990 à 1992, il occupe le poste
de professeur à l’Ecole des Arts visuels d’Evreux.
Durant cette même période, il anime un atelier de dessin
à la Maison des arts d’Evreux.
En 1990, il va participer à plusieurs
expositions. Tout d’abord pour le FDAC (Fond Départemental
d’Art Contemporain) à la Maison d’Ozé
à Alençon. A l’occasion de cette exposition,
le FDAC
de l’Orne lui achètera une toile. Ensuite, il s’agira
d’une exposition de groupe intitulée Usin’art
à l’usine Grande Paroisse de Grand Quevilly en Seine-Maritime.
Enfin c’est à une autre exposition de groupe, Vincent
et nous, qu’il va participer, à l’occasion
du 51ème salon de l’Union des Arts Plastiques à
Saint Etienne du Rouvray dans le même département.
En 1991, une autre exposition de groupe,
50X50, présentera son travail, à la galerie Médiane
de Rouen. Dans la même année il exposera à la
salle des ventes des Andelys dans la département de l’Eure.
1992 est une année où,
après avoir participé au salon de Vernon, Georges
Van Ruymbeke reçoit le prix spécial du jury à
la Biennale de Conches. Il va enchaîner directement avec une
exposition personnelle à la galerie Art et buffet dans le
quatorzième arrondissement de Paris.
En 1993, il va exposer au Prieuré
de Gaillon dans l’Eure, ainsi qu’à la Maison
des arts de Conches. De plus, il participera au dixième salon
de Vernon.
En 1994, le salon de Vernon l’invite
une nouvelle fois à exposer son travail. Mais il participera
aussi à une exposition de groupe un peu particulière.
Elle se nomme Les tapis volants-Maracaïbo, à
la Maison des arts d’Evreux. En effet il s’agit d’une
exposition de tapisserie. Un groupe d’Indiens va alors réaliser
une tapisserie avec comme model une des toiles de Georges Van Ruymbeke.
Elle sera alors exposée lors de cette manifestation.
Pour ne pas rompre avec ses habitudes,
il va participer en 1995 au douzième salon de Vernon. Puis
il va enchaîner avec plusieurs manifestations. Le 31ème
Grand Prix international de peinture de Cannes, une exposition France/Belgique
au centre culturel Sinjan à Bruges, une exposition à
Gisons dans l’Eure intitulée Des artistes normands
assiègent le château, et enfin il va participer
au 1er salon d’art abstrait à la chapelle du Carmen
à Bois Guillaume en Seine Maritime.
En 1996, il va participer une nouvelle
fois à une exposition de groupe à la Biennale de Conches,
ainsi qu’au Salon d’art contemporain de Tessé
la Madeleine dans l’Orne.
C’est en 1998, qu’il participera à cette exposition
de groupe sous le thème Musique à voir, peinture
et écriture musicale, à la Maison des arts d’Evreux.
Vous pouvez voir quelques toiles de cette exposition sur la page
intitulée "Partitions"
sur ce même site.
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Depuis plusieurs années, Georges
Van Ruymbeke s’occupe de la création des décors
et des affiches des spectacles de la Compagnie Nicolet. Il s’agit
d’une petite troupe de théâtre qui présente
ces créations, sorte de comédies musicales, sur une
péniche qui vogue le long de la seine. Les pièces
auxquelles il a participé sont Le Bistro du port,
Cabaret des années folles, Le Grand café,
Quel beau dimanche, Frou frou, La Queue du
chat et enfin Les Excentriques.
Pendant deux années consécutives il participa à
la création de deux pièces montées par Jean-Pierre
Dupuy, lors de stages de la jeunesse et sport animés par
ce dernier et par le danseur et chorégraphe Jackie Auvray
pour la deuxième année. Participent à ce stage
des amateurs et comédiens semi-professionnels :
- En 2000 fut monté la pièce Le Retable des merveilles.
- En 2001, c’est une association de trois pièces de
Michel de Ghelderode qui formera la pièce finale sous le
nom de Jusemina.
En 2002, il travaille sur la scénographie
du spectacle chanté de Frédéric Zagato, Veuve
noire.
De 2001 à 2003, Georges Van Ruymbeke exposera au théâtre
de L’Echarde à Rouen :
- 2001 : Exposition Totems et Talismans
- 2002 : Exposition Pâtés de têtes (variation)
- 2003 : Exposition Natures mortes (variation)
En avril et mai 2006, il participe à
l’exposition nommée Le Musée éphémère
de la ville de Conches.
Du 25 novembre au 04 décembre
2006, il est invité à une exposition de groupe, intitulée
Art d'ici et d'aujourd'hui, à Les Damps dans l'Eure.
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